IL SUFFIT DE LE FAIRE - ICHON
Catégorie: design graphique
Date: 2017
[FR] Projet fictif pour l’album: “Il suffit de le faire”. Le troisième projet d'Ichon , un 18 titres sorti le 24 novembre 2017. La mixtape est sortie sur son propre label Bon Gamin Entreprise.
Le titre de la mixtape se justifie par la vision de sa vie et la place des rêves d'un être humain :
« Que c'est simple, il suffit vraiment de le faire. Si t'as envie d'être gros journaliste, tu le fais et tu fermes ta gueule. Ce sera compliqué, tu vas passer par des étapes de doute mais c'est normal. Mais si t'en as vraiment envie, tu vas réussir. Apprends, regarde et observe, tu vois. "Il suffit de le faire" ça veut aussi dire "fais ton truc". Il n'y a aucun problème. Si tu veux vivre, tu vis, c'est dur pour tout le monde. À chaque échelle, à chaque niveau. J'ai pas encore réussi de fou, mais j'suis en paix avec moi-même. Il suffisait que j'aille parler à mes parents pour qu'on s'entende bien. Il suffisait de dire à ma meuf que j'ai envie d'aller voir ailleurs pour qu'on passe un accord. Il suffit de parler et de t'exprimer. »
— Ichon
[EN] Fictional project for the album: “Il suffit de le faire”. Ichon’s third project, an 18 tracks released on November 24, 2017. The mixtape was released on its own label Bon Gamin Entreprise.
The title of the mixtape is justified by the vision of his life and the place of dreams of a human being:
“That it’s simple, it’s really enough to do it. If you want to be a big journalist, you do it and shut your mouth. It will be complicated, you will go through stages of doubt but it is normal. But if you really want to, you will succeed. Learn, look and watch, you know. "Just do it" also means "do your thing." There’s no problem. If you want to live, you live, it’s hard for everyone. On every scale, on every level. I haven’t made a fool of myself yet, but I’m at peace with myself. I just had to talk to my parents to get along. All you had to do was tell my girl I want to go somewhere else and we’ll make a deal. Just talk and talk.”
— Ichon